Avec Omicron s'opère un changement de paradigme : baisse de la gravité, efficacité de l'immunité mémoire, infections non contrées par le virus... Les raisons en défaveur d'une quatrième dose précoce s'accumulent.
L'efficacité des vaccins diminuant au fil du temps, les autorités réfléchissent à élargir prochainement l'accès à un second rappel, au moins pour les personnes à risque.
Après les personnes de plus de 80 ans, la tranche inférieure de la population « à risque » va pouvoir recevoir un deuxième rappel, afin de se protéger contre les formes graves.
A l’instar de nombreux pays occidentaux, les autorités sanitaires françaises s’interrogent sur la nécessité de prévoir une nouvelle injection pour les personnes qui ont reçu leur rappel il y a plus de quatre mois.