Après les personnes de plus de 80 ans, la tranche inférieure de la population « à risque » va pouvoir recevoir un deuxième rappel, afin de se protéger contre les formes graves.
Avec Omicron s'opère un changement de paradigme : baisse de la gravité, efficacité de l'immunité mémoire, infections non contrées par le virus... Les raisons en défaveur d'une quatrième dose précoce s'accumulent.
Le vaccin était jusqu’ici autorisé à partir de 12 ans au sein des vingt-sept pays de l’Union européenne. L’AEM a également donné son aval à la dose de rappel du vaccin anti-Covid-19 de Pfizer-BioNTech, appelé Comirnaty, pour les enfants de 12 ans et plus.
Face à l’augmentation des cas de contamination, le gouvernement invite les personnes éligibles à effectuer leur rappel vaccinal. Pour l’heure, seuls 26,5 % des 60-79 ans et 30,1 % des 80 ans et plus ont reçu leur injection.