L'efficacité des vaccins diminuant au fil du temps, les autorités réfléchissent à élargir prochainement l'accès à un second rappel, au moins pour les personnes à risque.
Avec Omicron s'opère un changement de paradigme : baisse de la gravité, efficacité de l'immunité mémoire, infections non contrées par le virus... Les raisons en défaveur d'une quatrième dose précoce s'accumulent.
Face à l’augmentation des cas de contamination, le gouvernement invite les personnes éligibles à effectuer leur rappel vaccinal. Pour l’heure, seuls 26,5 % des 60-79 ans et 30,1 % des 80 ans et plus ont reçu leur injection.