Pour le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, un second rappel n’apporterait « pas de bénéficeindividuel significatif » et induirait un « risque de désengagement » de la population.
Avec Omicron s'opère un changement de paradigme : baisse de la gravité, efficacité de l'immunité mémoire, infections non contrées par le virus... Les raisons en défaveur d'une quatrième dose précoce s'accumulent.
L'efficacité des vaccins diminuant au fil du temps, les autorités réfléchissent à élargir prochainement l'accès à un second rappel, au moins pour les personnes à risque.
A l’instar de nombreux pays occidentaux, les autorités sanitaires françaises s’interrogent sur la nécessité de prévoir une nouvelle injection pour les personnes qui ont reçu leur rappel il y a plus de quatre mois.