La fracturation hydraulique, qui consiste à injecter de l’eau, du sable et des produits chimiques dans le sous-sol pour y récupérer le pétrole et le gaz difficiles à extraire, suscite de plus en plus d’opposition aux États-Unis.
En raison du risque de tremblements de terre lors de la fracturation hydraulique pour extraire du gaz de schiste, le gouvernement britannique a mis fin à ces expérimentations.
Le Territoire du Nord australien a levé l’interdiction du fracking – ou fracturation hydraulique – qui permet notamment l’extraction du gaz de schiste. Une nouvelle qui réjouit le quotidien local NT News, mais qui fait débat dans le pays.
Un projet de fracturation hydraulique dans l’Ouest canadien est à l’origine l’an dernier d’un des plus importants séismes liés à cette technologie controversée utilisée pour l’exploitation des hydrocarbures de schiste, a annoncé mercredi la chaîne publique CBC.
Gérée par Pétrolia, la société en commandite Hydrocarbures Anticosti reporte à l’été 2017 les travaux de fracturation hydraulique qu’elle avait l’intention de réaliser prochainement sur l’île d’Anticosti.