Financement, sortie des énergies fossiles, bilan de l’accord de Paris… Les positions se durcissent à quelques semaines de l’ouverture de la 28ᵉ conférence des Nations unies sur le climat, qui aura lieu à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre.
Jeudi a eu lieu la seconde reconstitution du plus grand fonds mondial pour le climat. Les pays en développement attendent que les Etats les plus riches tiennent leurs promesses en matière financière, un point de crispation potentiellement bloquant pour avancer sur d’autres dossiers à la COP28.
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La presse est venue en foule écouter la prise de parole d’Antonio Guterres à la COP28 ce lundi à 11h45, heure de Dubaï. A l’approche de la fin officielle de la COP28 annoncée pour mardi 11h, la tension monte.
Cet article COP28 : la « course contre la montre » se lance pour un accord...
Pour les agriculteurs, les motifs de crispation sont nombreux : « agribashing » ou déconsidération du monde agricole et de ses pratiques, surtranspositions de règlements européens, accords de libre-échange, retards de paiement des aides européennes.
Joe Biden ne se rendra pas à la 28e conférence mondiale sur le climat, qui s’ouvre jeudi 30 novembre à Dubaï, signe d’un changement de position du pays, à l’approche de l’élection présidentielle de 2024.