Les usines ont dû suspendre leur activité mardi et mercredi dans la capitale iranienne et la circulation des voitures individuelles a été interdite dans le centre-ville. Au moins 400 personnes ont été hospitalisées.
Air saturé en particules nocives et écoles fermées par précaution : malgré des restrictions à la circulation automobile et l’activité industrielle, les 8,5 millions d’habitants de Téhéran sont plongés dans la pollution atmosphérique.
Les autorités iraniennes ont été forcées de fermer les écoles et les garderies de la capitale pour deux jours, à compter de dimanche, en raison de l’indice de pollution atmosphérique qui a atteint des niveaux dangereux.
La capitale iranienne, qui compte 5 millions de véhicules, atteint chaque année des pics de pollution atmosphérique. Et les mesures pour en limiter l’impact peinent à se concrétiser.
La pollution de l'air a atteint des niveaux très élevés à Téhéran. Lundi 14 décembre, les autorités ont conseillé aux quelque 14 millions d'habitants de rester chez eux.
Faible visibilité
La capitale...