Au bout d'une semaine de confinement, des baisses notables des concentrations de dioxyde d'azote ont été constatées dans quasiment toutes les régions de France. L'effet sur les particulesfines est en revanche plus difficile à évaluer.
Ce week-end, de nombreux médias régionaux ont relayé l’information : des pics de pollution ont été enregistrés dans la moitié nord de la France. Malgré le confinement. En cause : les activités agricoles qui continuent, mais aussi des conditions météorologiques défavorables.
Si le confinement a un impact positif sur la qualité de l'air, elle ne peut pas être qualifiée de bonne sur tout le territoire. Le transport routier a certes chuté, mais d'autres sources d'émissions persistent.
Un réseau européen d’ONG a exploité les données du satellite Copernicus Sentinel-5P pour montrer l’impact des mesures anti-coronavirus sur la qualité de l’air à l’échelle d’une agglomération. Un aperçu saisissant et inédit.
En ciblant les entreprises ayant un effet positif tangible sur le développement durable, les fonds d’impact vont un cran au-delà de l’investissement socialement responsable.