Après l’annonce des mesures de confinement, un pic de pollution aux particules fines s’était fait ressentir, contre toute attente. Le phénomène semble s’atténuer grâce aux vents qui ont balayé l’Ile-de-France ce week-end.
Alors que le confinement a vidé les rues de la capitale, la qualité de l’air tarde à s’améliorer. L’effondrement de la circulation automobile n’est pas le seul phénomène à entrer en ligne de compte. Explications.
Après une semaine de confinement, la qualité de l'air s'est améliorée à Paris, en raison de la baisse du trafic routier et aérien. Si les concentrations en oxydes d'azote ont nettement reculé, celles des particules fines sont restées stables.
Dans la capitale de l’Irak, les mesures de restriction contre la pandémie de Covid-19 ont considérablement amélioré la qualité de l’air, pour le bonheur des personnes souffrant de difficultés respiratoires.
Si le confinement a un impact positif sur la qualité de l'air, elle ne peut pas être qualifiée de bonne sur tout le territoire. Le transport routier a certes chuté, mais d'autres sources d'émissions persistent.