La France disait vouloir attendre l’avis de l’AEM, mais la suspension du vaccin, décidée par plusieurs pays européens, dont l’Allemagne, a contraint le gouvernement à s’aligner.
Vous êtes nombreux à nous adresser des questions quant à la décision prise par Emmanuel Macron de suspendre en France les injections du vaccin anglo-suédois. « Le Monde » a tenté de répondre aux plus fréquentes.
Les injections venaient de démarrer dans les officines quand Emmanuel Macron a décidé de suspendre le vaccin AstraZeneca en attendant un avis de l’Agence européenne du médicament (EMA), attendu jeudi.
Le candidat-vaccin d'AstraZeneca a fait l'objet d'une précommande européenne. Mais certains craignent qu'il n'offre, au mieux, qu'une protection partielle.