Des travaux scientifiques suggèrent que notre cerveau ne traite plus ces petits symboles comme du texte. Il les a désormais assimilés à une image du réel.
À l’adolescence, la zone liée à la reconnaissance des visages continue à créer davantage de connexions neuronales qu’elle n’en supprime. Un regard nouveau sur les transformations du cerveau au cours de la croissance.