Le cerveau des chiens traite la parole comme celui des humains

Futura Sciences, le
Par
#chien #langage #phonèmes #parole humaine #phonétique #catégoriser les mots #aptitude naturelle #université du Sussex #stimulus sonore #cerveau #traitement de la parole #traitement hiérarchisé #intonation #sens des mots
Le cerveau des chiens traite la parole comme celui des humains
Nos chiens ne parlent pas. Ils sont toutefois sensibles à la signification des mots tout comme à l’intonation avec laquelle nous nous adressons à eux. Cela a été montré il y a quelques années déjà. Mais aujourd’hui, des chercheurs vont un peu plus loin. Ils concluent que le cerveau des chiens...
Articles qui devraient vous intéresser :

Plus il fait chaud, plus les tiques préfèrent les humains aux chiens

Futura Sciences
Plus il fait chaud, plus les tiques préfèrent les humains aux chiens
Mauvaise nouvelle à l’heure du changement climatique : les tiques délaissent les chiens pour mordre les humains lorsque les températures augmentent. « Lorsque la température passe de 23 à 37 °C, les tiques sont 2,5 fois plus susceptibles de préférer les humains aux chiens », relate...

La taille du cerveau des chiens dépend de leur race et de leur mode de vie

Futura Sciences
La taille du cerveau des chiens dépend de leur race et de leur mode de vie
Le chien évolue patte dans la main de l’Homme depuis des milliers d’années maintenant. Mais les chercheurs continuent de faire, à son sujet, des découvertes surprenantes. La dernière en date : le fait que le cerveau des races de chiens les plus récentes est plus grand que celui des...

Les chiens distinguent mots et intonations… comme les humains

Le Monde
Les chiens distinguent mots et intonations… comme les humains
Une étude hongroise, qui a observé par IRM le cerveau canin, montre qu’il prête attention à ce que nous disons et à la manière dont nous le faisons.

Comme les chiens, les louveteaux rapportent la balle, conclut une étude

L'express
Comme les chiens, les louveteaux rapportent la balle, conclut une étude
L'hypothèse longtemps soutenue était que la capacité à interpréter des comportements sociaux profondément humains était réservée aux chiens.