Interdire l’arrosage des espaces de nature en ville compromet la sauvegarde du capital végétal, dont l’utilité lors d’épisodes climatiques extrêmes est avérée. Il faut faciliter l’utilisation des eaux grises et usées, et récupérer les eaux de pluie, plaident, dans une tribune au « Monde », trois spécialistes du paysage.