« Ras le bol d’être ridiculisées » : une journée dans les « convois de la liberté »

Le Monde, le
« Ras le bol d’être ridiculisées » : une journée dans les « convois de la liberté »
Inspiré du mouvement canadien contre l’obligation vaccinale des chauffeurs routiers, le rassemblement français agrège les profils et les colères. Des milliers de personnes convergeaient samedi matin vers Paris pour protester aussi bien contre les mesures sanitaires que contre la baisse du pouvoir d’achat.
Visiter le site
Articles qui devraient vous intéresser :

D’Ottawa à Paris : aux origines des « convois de la liberté »

 Le Monde
D’Ottawa à Paris : aux origines des « convois de la liberté »
Comment est né ce mouvement, qui essaime dans plusieurs pays du monde ? Hélène Jouan, correspondante du « Monde » à Montréal, s’est rendue à Ottawa, la capitale fédérale du Canada, paralysée depuis plus de deux semaines par des camionneurs. Dans ce podcast, elle nous raconte les...

« On a le sentiment d’être oppressés » : à Paris, les « convois de la liberté » convergent

 Le Monde
« On a le sentiment d’être oppressés » : à Paris, les « convois de la liberté » convergent
Des centaines de manifestants aux revendications hétéroclites, parmi lesquelles la levée du passe vaccinal, mais aussi des mesures de soutien au pouvoir d’achat, ont défilé samedi dans la capitale, avant d’être dispersés à l’aide de gaz lacrymogènes.

« Convois de la liberté » : Marine Le Pen estime qu’Emmanuel Macron « démarre sa campagne avec des blindés »

 Le Monde
« Convois de la liberté » : Marine Le Pen estime qu’Emmanuel Macron « démarre sa campagne avec des blindés »
De son côté, François Bayrou a condamné un mouvement de « sécession » tandis que Nathalie Arthaud, la candidate de Lutte ouvrière, a apporté son soutien à ce qu’elle qualifie de « contestation sociale salutaire ».

Les « convois de la liberté » aux portes de Paris, les forces de l’ordre mobilisées

 Le Monde
Les « convois de la liberté » aux portes de Paris, les forces de l’ordre mobilisées
Les centaines de véhicules partis de Lille, Strasbourg, Vimy (Pas-de-Calais) ou Châteaubourg (Ille-et-Vilaine) se sont arrêtés vendredi soir aux portes de Paris. Aucun convoi n’a encore pénétré dans la capitale.