Dans sa chronique, le juriste Jean-Emmanuel Ray met en évidence la petite avancée que représente l’accord national interprofessionnel conclu en avril, en ce qu’il peut servir de mode d’emploi pour outiller les comités sociaux et économiques.
Malgré la signature en avril d’un accord national interprofessionnel sur la transition écologique et le dialogue social, les comités sociaux et économiques se saisissent encore à la marge des thématiques environnementales.
Sur fond de prise de conscience des salariés et des entreprises, les questions d’impact environnemental prennent de plus en plus de poids à l’ordre du jour des CSE, mais demeurent souvent secondaires.
Il faut lancer un nouveau pacte pour trouver, en particulier en matière d’emploi et d’évolution des compétences, les bons équilibres entre la transition énergétique, l’économie et le social, explique le juriste Jean-Emmanuel Ray dans sa chronique.
Expérimenté par la ville de Grande-Synthe, le RTE (revenu de transition écologique) a vocation à accélérer la transition tout en répondant à des enjeux sociaux. L’économiste et philosophe suisse Sophie Swaton, à l’origine de cette innovation, détaille son fonctionnement à La Tribune.