Les résultats de plusieurs études portant sur l'impact sanitaire de l'accident industriel ont été révélés à l'occasion d'un comité de transparence organisé par la préfecture de Seine-Maritime. Ils sont en décalage avec la perception des victimes.
Selon un sondage CSA, seuls 7 % des Français vivant à proximité des turbines se disent gênés par le bruit des pales. Mais les études scientifiques manquent sur les effets sanitaires des parcs.
La ministre identifie trois axes pour son plan d'actions, après avoir présidé une séance du CSPRT où étaient présentées les propositions de ce dernier, ainsi que les premières conclusions de la mission d'inspection sur l'accident de Lubrizol.
L'enquête menée par l'association auprès de 565 personnes montre les effets sanitaires importants de l'accident sur la population et un impact sur un périmètre plus large que le seul panache de l'incendie.
« Le Monde » révèle les conclusions de l’expertise versée à l’enquête pénale sur la catastrophe industrielle au cours de laquelle plus de 9 500 tonnes de produits potentiellement toxiques avaient brûlé, en septembre 2019.