Les restrictions imposées ont pour conséquence de diminuer fortement les émissions de polluants atmosphériques. Les concentrations en dioxyde d'azote baissent dans les grandes villes, mais les taux de particulesfines stagnent.
Si le confinement a un impact positif sur la qualité de l'air, elle ne peut pas être qualifiée de bonne sur tout le territoire. Le transport routier a certes chuté, mais d'autres sources d'émissions persistent.
Après l’annonce des mesures de confinement, un pic de pollution aux particules fines s’était fait ressentir, contre toute attente. Le phénomène semble s’atténuer grâce aux vents qui ont balayé l’Ile-de-France ce week-end.
Dans la capitale de l’Irak, les mesures de restriction contre la pandémie de Covid-19 ont considérablement amélioré la qualité de l’air, pour le bonheur des personnes souffrant de difficultés respiratoires.
Alors que le confinement a vidé les rues de la capitale, la qualité de l’air tarde à s’améliorer. L’effondrement de la circulation automobile n’est pas le seul phénomène à entrer en ligne de compte. Explications.