Les dégâtsenvironnementaux infligés par l’homme sont irréversibles, alertent Gerald Markowitz et David Rosner, deux historiens des sciences américains, dans une tribune au « Monde ».
Le réchauffement climatique joue un rôle plus important que l’on pensait dans les zones mortes des plans d'eau de la planète et la situation risque d’empirer, selon une étude.
Les zones mortes, ces espaces où plus rien ne peut survivre dans l'océan, se multiplient et grandissent en superficie. Or, elles sont directement liées aux activités humaines et à nos choix de consommation.
Selon les conclusions d'une étude internationale pilotée par plus d’une vingtaine de scientifiques, la superficie des « zones mortes », donc sans oxygène, a été multipliée par quatre depuis 1950.