Une étude d'Airparif et du King's College montre que la zone à faiblesémissions de Londres n'a pas permis l'amélioration de la qualité de l'air escompté. La raison ? Le décalage entre la norme théorique et les émissions réelles d'oxydes d'azote.
PSA, deux ONG environnementales et le cabinet Bureau Veritas ont mis au point un protocole de mesure de la consommation de carburant et des émissions de CO2 en conditions réelles. Les émissions d'oxydes d'azote seront rajoutées à la fin de l'année.
Après l'inventaire des émissions polluantes et des gaz à effet de serre début avril 2024, Airparif a publié, ce mardi 24 avril, son bilan 2023 de la qualité de l'air en Île-de-France. Celle-ci s'améliore globalement depuis une vingtaine d'années, ...
Ile-de-France Mobilités va mesurer, en partenariat avec Airparif, les émissions des gaz d'échappement d'un panel de 22 de ses bus diesel et hybrides jusqu'en juin 2019. Ces mesures se feront en conditions réelles avec des passagers à bord. Des a...
Officialisant les résultats des tests d'émissions réelles sur 52 véhicules pris au hasard, le ministère de l’écologie a confirmé qu’aucun modèle ne parvenait à respecter les normes en vigueur.