AVIS D'EXPERT - Le professeur Michel Komajda, cardiologue, explique comment le patient peut, et doit, se montrer actif dans son rétablissement, tout en restant conscient de sa maladie.
D’après une récente étude, plus d’une personne sur dix ayant été traité pour un cancer décédera d’une maladie cardio-vasculaire, et non à cause de sa tumeur.
En France, près de 6 millions d'adultes sont hypertendus mais ne le savent pas. C’est pourtant un important facteur de risque d'accident cardio-vasculaire.
Des travaux issus de la cohorte épidémiologique NutriNet publiés jeudi suggèrent que les plus gros consommateurs d’édulcorants ont un risque augmenté d’environ 10 % de subir une pathologie cardio-vasculaire par rapport à ceux qui s’en passent.