Les femmes porteuses d’une mutation du gène BRCA1 ou 2, comme l’actrice Angelina Jolie, ont en commun une anomalie précoce de certaines cellules immunitaires. De quoi faire naître l’espoir d’un traitement préventif.
Environ 70% des femmes qui décident de subir une double mastectomie après la découverte d’un cancer dans un sein ont pourtant un risque très faible de développer une tumeur dans le sein qui n’est pas malade, indique ce mercredi une recherche.
Les femmes âgées de 50 à 69 ans qui effectuent des mammographies régulièrement, tous les deux ans environ, réduisent de 40% leur risque de mourir d’un cancer du sein, montre une vaste étude internationale publiée mercredi aux États-Unis.
Le risque de cancer du sein ou de l’ovaire augmente considérablement, bien avant 50 ans, pour les femmes qui portent certaines mutations génétiques BRCA1 ou BRCA2.
Une étude montre que les femmes n’identifient pas l’alcool en tant que facteur de risque important de cancer du sein. Pourtant, plusieurs milliers de cas lui sont imputables chaque année en France.