Pour les antispécistes, rien ne saurait justifier l’exploitation de l’animal par l’homme. Leur remise en question radicale de notre alimentation, de l’écologie et de l’humanisme interroge autant qu’elle dérange.
Le philosophe et fondateur des « Cahiers antispécistes », David Olivier, répond à Paul Ariès, qui avait accusé le mouvement végan de « mentir sciemment ».