La Haute Autorité de santé recommande aux moins de 55 ans ayant reçu une première dose du produit du groupe anglo-suédois de recourir à l’ARN messager en deuxième dose, une stratégie qui a fait ses preuves mais n’a jamais été testée en vie réelle.
Une vaccination mixte d'AstraZeneca puis d'un vaccin Pfizer a multiplié par six les niveaux d'anticorps neutralisants par rapport à deux doses d'astraZeneca, selon une étude sud-coréenne.
Des données inédites montrent que les pays du nord et de l’ouest ont privilégié les vaccins à ARN messager tandis que ceux du sud et de l’est se sont davantage tournés vers les vaccins à vecteur viral d’AstraZeneca et Janssen.
De nombreux primo-injectés cessent de respecter les gestes barrières avant même de recevoir leur deuxième dose. Pourtant, seuls 20 % des Français étant totalement vaccinés, des médecins insistent sur la nécessité de ne pas baisser la garde.