Deux équipes ont identifié l’une des mutations génétiques qui a pu permettre au virus d’être si virulent lors de l’épidémie qui a tué 11.000 personnes en Afrique de l’Ouest.
Le virus Ebola a connu nettement moins de mutations que ne le craignaient des virologues ce qui permet de préserver l’efficacité des vaccins prometteurs en cours d’essais cliniques, selon une étude publiée jeudi dans la revue américaine Science.
En Ouganda, un homme est décédé de fièvre hémorragique à virus de Marburg, très proche de celui d'Ebola et potentiellement tout aussi dangereux. Les autorités ougandaises s'efforcent d'empêcher une épidémie.
Le premier essai mené chez l'humain d'un vaccin contre le virus Ebola n'a déclenché aucun effet indésirable grave, et semble permettre aux patients de développer une réponse immunitaire.