Les Soulèvements de la Terre visent le « monde du béton » par des dizaines d’actions

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Les Soulèvements de la Terre visent le « monde du béton » par des dizaines d’actions
Dans toute la France, à Bruxelles et en Suisse, le collectif associé à d’autres organisations a ciblé des centres de production de béton, des usines d’enrobage ou de simples lieux de stockage, pour dénoncer l’artificialisation et ses impacts sur l’environnement.
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Alors que le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a fait savoir qu’il engageait une procédure de dissolution du mouvement les Soulèvements de la Terre, des centaines d’intellectuels, de chercheurs et d’artistes manifestent leur indéfectible soutien au collectif et à ses luttes.

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Le gouvernement justifie la dissolution des Soulèvements de la Terre par des incitations à « la commission de sabotages et dégradations matérielles, y compris par la violence ».

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Les avocats des Soulèvements de la terre estiment que « les qualifications juridiques » des faits qui sont reprochés au collectif « sont maladroitement bricolées ».

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La dissolution des Soulèvements de la Terre vient d’être prononcée en conseil des ministres, ce mardi. Qui est ce collectif écolo dans le viseur du gouvernement depuis plusieurs semaines ? Et pourquoi a-t-il été dissous ?