Nathalie Gontard, chercheuse à l’Inrae, décrit l’impact majeur de la pollution générée par les objets en plastique tout au long de leur cycle de vie, et met en garde contre « l’illusion » du recyclage.
Pour évaluer l’impact des particules de plastique sur la vie dans les océans, il faut en connaître les formes et les compositions chimiques. Des chercheurs montrent aujourd’hui à quel point celles-ci peuvent être diverses.
Le plastique, il y a longtemps que nous savons que ce n’est pas si fantastique que ça. Une nouvelle étude le confirme aujourd’hui. Depuis plus de 15 ans, le nombre de particules qui se retrouvent dans nos océans augmente de manière vertigineuse. Comment stopper ça ?
Les particules de plastique ingérées dans l’eau par les larves de moustique se retrouvent dans l'insecte adulte. Les animaux terrestres comme les araignées ou les oiseaux, en se nourrissant de ces moustiques, sont ainsi indirectement victimes de la pollution aquatique.
Pour réchauffer un aliment, le plus simple, c’est de le mettre dans un contenant en plastique et de le passer au four à micro-ondes. Le plus simple, mais probablement pas le plus sain. L’opération nous exposerait en effet à des quantités massives de très petites particules de plastique.