La transmission du virus par l’homme aux animaux « présente un risque pour les grands félins en captivité », met en garde l’étude menée par l’université de Pretoria.
L’acide domoïque, un composé neurotoxique présent dans les algues ingérées par les poissons puis par les lions de mer, est à l’origine d’une épidémie mortelle chez ces animaux, sur la côte ouest des Etats-Unis.