Le financement des investissements nécessaires à la transition énergétique, à faible rendement et de long terme, exige des banques centrales qu’elles persévèrent dans leur politique de taux bas, estime l’économiste dans sa chronique.
L’économiste Patrick Artus rejette, dans sa chronique au « Monde », l’idée que l’intervention massive des Etats dans le fonctionnement de l’économie soit le signe d’un retour à l’économie dirigée, il s’agit plutôt d’un réajustement des « incitations » visant à aider...
Dans une tribune au « Monde » et au « Guardian », les gouverneurs des banques centrales d’Angleterre et de France appellent à prendre en compte les risques financiers liés au changement climatique.
L’économiste doute, dans sa chronique au « Monde », des vertus écologiques et économiques des achats massifs de titres par les banques centrales, qui bénéficient essentiellement à la sphère financière.
Les objectifs environnementaux de la France ne pourront être financés que par un transfert des revenus des plus riches vers l’Etat, vers l’épargne et vers les entreprises qui investissent dans la transition écologique, affirme l’économiste dans sa chronique.