Selon un avis consultatif de cette juridiction de l’ONU, les pays ont l’obligation de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, afin de protéger l’environnement marin des méfaits du changement climatique.
Pour la première fois, un tribunal international a établi un lien direct avec la qualité de vie, la santé et le bien-être. Une extension historique « des droits de l’homme à la question climatique ».
Des pays menacés de destruction par le changement climatique demandent au Tribunal international pour le droit de la mer de fixer des obligations aux Etats pollueurs.
Le tribunal international Monsanto a rendu son avis juridique le 18 avril. Il conclut que les activités de cette firme violent de nombreux droits comme celui à un environnement sûr, à l'alimentation, à la santé, à la liberté de la recherche...
Six mois après le procès citoyen intenté au géant de l’agrochimie, les juges ont rendu, mardi 18 avril à La Haye, leur « avis consultatif » et demandent la reconnaissance de l’écocide dans le droit international.