L'Assemblée nationale a donné son feu vert jeudi soir pour permettre au gouvernement de procéder à la fermeture des quatre dernières centrales à charbon d'ici 2022.
François de Rugy a présenté trois leviers que le gouvernement compte activer pour assurer la fermeture des centrales à charbon d'ici 2022. Il s'agit d'assurer la sécurité électrique même si l'EPR de Flamanville ou d'autres projets prennent du retard.
Quelque 1.500 emplois sont concernés par la fermeture des centrales à charbon d'ici 2022. Des mesures d'accompagnement sont prévues par la loi pour les salariés touchés. L'Ademe dresse un état des lieux de l'emploi dans les ENR dans ces régions.
Dans une nouvelle version du texte, le gouvernement précise comment il entend défendre juridiquement la fermeture des quatre dernières centrales à charbon.