« La requérante n’invoque aucune contre-indication à son état de santé ni d’ailleurs le moindre motif pour lequel elle aurait négligé ou refusé de se soumettre à l’obligation vaccinale », a justifié le juge des référés dans son ordonnance.
Le tribunal estime que la suspension de trois agents du CHU de Saint-Étienne et de l’hôpital de Roanne est « de nature à faire naître un doute sérieux quant à la légalité de la décision en litige ».