Fermé en 2016, l’abattoir de ce village du Briançonnais a été repris par une coopérative d’éleveurs, pour des raisons économiques, mais aussi morales, afin de se réapproprier la mort des animaux.
Une centaine d’éleveurs de la Creuse, de la Haute-Vienne et de la Corrèze sont à recherche d'un financement pour aménager une salle d'abattage de vaches conçue pour éviter au maximum le stress et la souffrance...