Après des années de disette, le secteur du nucléaire attire de nombreux jeunes. Les projets de six nouveaux EPR devraient entraîner des dizaines de milliers d'emplois.
Alors que cette filière peinait à attirer des jeunes depuis l’accident de la centrale de Fukushima, le secteur retrouve, depuis deux ans, de l’attractivité, notamment grâce à une puissante communication autour de ses faibles émissions de CO2.
Tiraillés entre les réalités des entreprises et l’impératif climatique, de jeunes ingénieurs disent vivre une « dissonance cognitive ». Certains renoncent à une carrière traditionnelle.
La filière s’organise pour répondre à la forte demande de techniciens et d’ingénieurs. Et son meilleur atout s’appelle Jean-Marc Jancovici : le polytechnicien sait s’adresser aux jeunes et les inciter à se lancer dans des formations spécialisées.
En plein essor, le marché des énergies renouvelables attire de nombreux jeunes désireux d’aligner engagement environnemental et activité professionnelle. Mais si les formations longues font carton plein, les cursus plus opérationnels peinent à attirer des candidats.