Cette décision unanime ouvre la voie à une seconde phase du procès intenté par un résident californien et qui portera, à partir de mercredi, sur la responsabilité de Monsanto.
Un jury fédéral a considéré que le groupe n’avait pas agi de bonne foi pour prévenir les usagers du risque potentiellement cancérigène de son désherbant, qui contient du glyphosate.
L’affaire sera jugée en deux temps : il s’agira d’abord de déterminer la responsabilité du désherbant dans le cancer du plaignant, puis celle de Monsanto.
L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a jugé «improbable» le risque cancérigène du glyphosate, une substance utilisée dans les pesticides, notamment le Roundup. Une position qui ne manquera...