Les données enregistrées durant les cinquante dernières années par le Centre national des ouragans américain montrent une nette tendance à l’intensification des événements cycloniques depuis la fin des années 1990.
Fiona a provoqué la mort de deux personnes sur la côte atlantique canadienne, dont une emportée par les flots. Une autre tempête, Ian, deviendra un ouragan « majeur » lundi soir ou mardi matin avant d’atteindre l’ouest de Cuba.
Les ouragans comme «Irma» se nourrissent de l’énergie dégagée par les océans: du coup, les scientifiques prévoient que l’intensité de ces événements, également appelés cyclones ou typhons, se renforce, mais pas leur fréquence à l’échelle du globe.
On savait que le réchauffement climatique favorisait la formation de cyclones et de typhons de plus en plus puissants. Une nouvelle étude parue dans Science révèle aujourd’hui que ces dépressions tropicales ont tendance à se rapprocher dangereusement des côtes, et sont donc susceptibles...