Quelque 8 000 membres des peuples autochtones se sont réunis dans un vaste campement pour dénoncer l’orpaillage illégal et la pollution de leurs territoires. Ils ont reçu le soutien de l’ancien président Lula.
Benki Piyako n’a pas attendu la COP21 pour défendre l’environnement. Il a parcouru la planète pour alerter sur la déforestation de sa région natale, l’Amazonie, prôner la protection des terres et la sauvegarde des savoirs indigènes.
Encouragés par le discours du président Jair Bolsonaro et l’incurie des agences de l’Etat, des milliers de « garimpeiros » affluent sur les terres indigènes, apportant avec eux maladies et pollution au mercure.
Ruth Buendia, une militante péruvienne et présidente de l'organisation indigène CARE, a pris la parole à Lima lors des pourparlers internationaux sur le changement climatique. Elle appartient à la communauté indigène Ashaninka, une des plus durement affectées par la concession de leurs...
-
La Cour suprême du Brésil reprend ce mercredi l'examen d'un jugement au long cours crucial pour les populations autochtones. Il pourrait remettre en cause la démarcation des terres que le pays leur réserve.
Cet article Le “jugement du siècle”, une affaire capitale pour les terres...