Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat se réunit vendredi pour réfléchir aux conséquences du dérèglement climatique sur les terres.
Si l’idée d’un réchauffement maintenu à 1,5 °C d’ici la fin du siècle n’a pas encore été éliminée définitivement des esprits, pour la plupart des scientifiques, il est déjà trop tard.
Les gouvernements ont approuvé samedi le dernier bilan scientifique du Giec sur le dérèglement climatique, qui montre de forts impacts dès 1,5°C de réchauffement, en dépit de contestations exprimées par l'Arabie saoudite, a-t-on appris auprès de plusieurs participants.
Avec le dérèglement du climat, la capitale risque de subir des vagues de chaleur récurrentes et des crues plus fréquentes, selon une étude réalisée pour la Mairie de Paris.
Dans une tribune au « Monde », l’économiste Lucas Chancel estime que les premières victimes du refus du président américain de combattre le réchauffement climatique seront les travailleurs pauvres qu’il prétend défendre.