Notre droit n’est pas apte à faire face à la destruction du vivant, affirme la juriste, qui revient, dans un entretien au « Monde », sur les entités naturelles – fleuve ou parc – reconnues en tant que personnalité juridique.
Marine Calmet signe l'ouvrage "devenir gardiens de la nature, pour la défense du vivant et des générations futures", aux éditions Tana. Partie en Guyane pour tenter de comprendre comment les peuples premiers se battent contre l'orpaillage, Marine Calmet est l'invitée...
Et si, pour la première fois en Europe, un fleuve avait la possibilité de s’exprimer et de défendre ses intérêts à travers un système de représentation inter espèces ?, s’interroge dans une tribune au « Monde », un collectif d’acteurs du Val de Loire
La juriste Marine Calmet, dans une tribune au « Monde », rappelle l’importance vitale du fleuve emblématique qui traverse la capitale française, et réclame la reconnaissance et la protection de ses droits fondamentaux