Petits ou gros dormeurs, une question de gènes?

Le Figaro, le
Par
#Forme et bien être
Petits ou gros dormeurs, une question de gènes?
Du soir ou du matin, chacun d’entre nous dort plus ou moins longtemps. Et rien ne sert de forcer sa nature: des gènes de notre horloge interne rythment nos nuits.
Articles qui devraient vous intéresser :

Les petits dormeurs ont un risque accru d'obésité

Le Figaro
Les petits dormeurs ont un risque accru d'obésité
Une femme sur cinq et un homme sur sept souffrent d'insomnie, selon une enquête nationale. La sieste est recommandée.

Les petits dormeurs sont plus sujets aux idées noires

Le Figaro
Les petits dormeurs sont plus sujets aux idées noires
Les personnes qui dorment peu sont davantage sujettes à la rumination. Leur esprit est davantage attiré par les informations négatives que les événements positifs.

Être en forme: une question de génétique ?

Le Figaro
Être en forme: une question de génétique ?
La question interroge les chercheurs depuis plusieurs années. Ils ont découvert des gènes liés à notre capacité d’endurance et d’autres permettant à certains d’entre nous de peu dormir tout en restant frais.

Pourquoi les mammifères pratiquent l’infanticide

Le Monde
Pourquoi les mammifères pratiquent l’infanticide
Chez 119 espèces, les mâles tuent les petits des autres pour contrôler leur descendance et transmettre leurs gènes.