Jusque-là, la Russie a livré près de 40 % du gaz consommé par les Vingt-Sept. Loin devant les autres fournisseurs, la Norvège, l’Algérie ou les Etats-Unis. Le scénario d’une suppression totale des livraisons russes paraît peu plausible.
Dans un contexte de crise énergétique et de guerre en Ukraine, la présidente de la Commission européenne a consacré l’essentiel de son discours sur l’état de l’Union européenne à ces questions.
L’experte du climat Lola Vallejo estime, dans une tribune au « Monde », que la crise gazière suscitée par l’invasion de l’Ukraine doit accélérer la substitution des énergies renouvelables aux énergies fossiles.
Un rapport du think tank Ember estime que la guerre en Ukraine et la crise énergétique accélèrent la transition et n’ont pas provoqué de « retour au charbon ».
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Face à la dépendance européenne au gaz russe dans un contexte de crise ukrainienne, les regards se tournent vers le gaz naturel liquéfié. Plus facilement transportable et adaptable, ce produit ne présente toutefois pas que des avantages.
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