Dans la baie de Guanabara, au Brésil, les pêcheurs peinent à trouver des poissons. Pour les aider financièrement et dépolluer la région, une organisation environnementale les paie pour récupérer les détritus qui s’empilent.
Sur les quais de Seine, on peut apercevoir de drôles de pêcheurs. Ils ne sont pas là à la recherche de poissons, mais de métal. La Seine en regorge. En 2020, plus de dix tonnes y ont été ramassées.
Oui, les poissons souffrent. Voilà ce que conclut un rapport de la Commission fédérale suisse d'éthique pour la biotechnologie dans le domaine non humain (CENH), rapporte le site 8e-etage.fr. Selon ce texte, s'il n'y a pas de « certitude absolue » quant à la sensibilité des poissons, il n'y...