Une étude, reprise sur sa une par la version américaine du Guardian, pointe l’impact démesuré dans les émissions de carbone liées au transport aérien d’une élite restreinte de “super-émetteurs”.
Si l’aérien ne représente que 2,5 % des émissions de CO2 globales, la moitié des émissions du secteur est générée par seulement 1 % de la population mondiale. Mais avant d’envisager des mesures radicales, il est urgent de faire évoluer notre façon de prendre l’avion.
« Chaleur humaine ». L’absence d’une technologie de remplacement disponible à court terme rend obligatoire un débat sur la baisse du trafic aérien, estime la chercheuse Isabelle Laplace.
Lors de l'assemblée générale de l'OACI, l'organisation internationale de l'aviation civile, qui s'achèvera le 7 octobre, les 191 Etats membres vont tenter de signer un accord pour baisser les émissions de CO2 du transport aérien. A défaut, les compagnies risqueront de se voir une multitude...