Non content de le maintenir sous sa coupe, la Chine noie le Tibet sous les mêmes nuages de pollution qui recouvrent ses plus grandes villes: à Lhassa, la capitale, ce vendredi, la densité de particules a dépassé de vingt fois le seuil préconisé par l'OMS pour 24 heures. "Le dernier paradis sur Terre n'est plus", s'est ému un internaute.