Dans cette région où les deux types de culture se partagent la terre, l’épisode de gel de début avril a fortement marqué les esprits, mais n’empêche pas les professionnels de croire encore en l’avenir, et à envisager d’adapter leurs productions.
Arboriculteurs et viticulteurs peinent encore à évaluer l’impact sur leurs productions de la chute de températures intervenue dans les nuits des 2 et 3 avril.
Hormis quelques exceptions, toutes les régions viticoles, du Val-de-Loire à la Provence, du Beaujolais à la Corse, de la Vallée du Rhône au Languedoc en passant par le Bordelais et la Bourgogne, examinent les plaies laissées par le froid.
Déjà fortement touchés en 2021 par des températures négatives jamais atteintes depuis trente ans, arboriculteurs et viticulteurs se préparent à affronter un nouvel épisode de neige et de verglas.
Une étude internationale, publiée ce mardi, attribue les dégâts colossaux liés au gel tardif d’avril 2021 chez les viticulteurs et arboriculteurs aux effets collatéraux... du réchauffement climatique. Explications.