Stévia, riz basmati ou rooibos : mangez-vous les trésors de la biopiraterie ?

Terra Eco, le
Par
Stévia, riz basmati ou rooibos : mangez-vous les trésors de la biopiraterie ?
Le protocole de Nagoya, entré en vigueur ce dimanche, doit empêcher le vol des savoirs ancestraux par les industriels. Plongée dans nos placards pour un inventaire, non exhaustif, des produits déjà pillés. Aux quatre coins de la planète, les biopirates prospectent. Dans les zones assez reculées pour que des communautés y vivent encore tranquilles, des envoyés spéciaux de l'industrie pharmaceutique, cosmétique ou agroalimentaire sondent les chamans et guérisseurs pour leur extirper leurs recettes. Au (...) - Nature / Monde, Alimentation, Agriculture
Articles qui devraient vous intéresser :

Les Indiens d’Amérique du Sud accusent l’industrie agroalimentaire de biopiraterie

Le Monde
Les Indiens d’Amérique du Sud accusent l’industrie agroalimentaire de biopiraterie
Des multinationales utilisant la stevia pour ses propriétés édulcorantes sont accusées de s’être appropriées des ressources génétiques et des connaissances traditionnelles sans partager les bénéfices.

La stévia, l'herbe aux pouvoirs sucrants

France Info
La stévia, l'herbe aux pouvoirs sucrants
La stevia, appelée aussi plante à sucre, est l'une des plantes les plus recherchées par les jardiniers pour son pouvoir sucrant, son originalité et sa relative facilité de culture. Notez que cette plante possède un pouvoir sucrant 300 fois supérieur au sucre du commerce.

Au Paraguay, ils cultivent la stévia sans pesticides

Terra Eco
Au Paraguay, ils cultivent la stévia sans pesticides
Dès janvier, débarquera en France un nouveau coca… à la stévia, un édulcorant naturel qui grignote de plus en plus de parts de marché. Des producteurs sud-américains se sont lancés dans la culture sans pesticides. En 2012, nous les avions rencontrés.

Le « flexitarisme », un régime encore flou récupéré par le lobby de la viande

Le Monde
Le « flexitarisme », un régime encore flou récupéré par le lobby de la viande
Faute de définition officielle, si ce n’est une consommation limitée de viande, la profession accapare le terme et vante le « mangez mieux » à défaut du mangez moins.