Traiter ses mails ou répondre à un coup de fil professionnel depuis son domicile, c’est devenu le quotidien des nombreux cadres convertis au télétravail.
Privé de touristes en raison de la pandémie, l’archipel portugais mise sur les télétravailleurs. Le premier village pour « nomades numériques » vient d’y voir le jour, avec des services sur mesure.
L’île de Koh Phangan accueille de nombreux exilés occidentaux, adeptes du travail à (longue) distance. La crise sanitaire a accentué le phénomène des « nomades numériques », soucieux de changer de cadre de vie.
L’Observatoire du télétravail, lancé par l’Ugict-CGT et réunissant des chercheurs et des syndicalistes, a publié ses premiers résultats mercredi 6 décembre. L’étude interroge notamment les conséquences du temps gagné par les télétravailleurs, qui peut aussi augmenter leur charge...
Depuis qu’ils ont calculé le bilan carbone d’un aller-retour à Bali, ils ne supportent plus les « digital nomads », ces télétravailleurs sans frontières expatriés au bout du monde. Ils ont même décidé de les harceler sur les réseaux sociaux. Pour la bonne cause.