Le pays compte entre 8 000 et 12 000 fauves en captivité – soit trois à quatre fois plus qu’à l’état sauvage –, destinés notamment à la chasse et au commerce d’os avec l’Asie.
“Chasse en boîte”, commerce d’os de lions, “volontourisme”, etc. Selon une étude scientifique, les dérives de l’élevage commercial des fauves risquent de nuire au tourisme en Afrique du Sud.
La transmission du virus par l’homme aux animaux « présente un risque pour les grands félins en captivité », met en garde l’étude menée par l’université de Pretoria.