Le fleuve a atteint son niveau bas plus tôt que d’habitude. Le syndicat mixte qui gère la Garonne procède à des « lâchers d’eau » en provenance de barrages hydroélectriques.
Des zones de protection et de surveillance de 3 et 10 km autour de l’élevage sont mises en place, et une « surveillance active élargie » est engagée dans les élevages et dans la faune sauvage.
Dans ce village du Lot-et-Garonne inondable à 100 %, le souvenir de la grande crue de décembre 1981 est intact. Mais plutôt que de vivre dans la crainte du prochain débordement de « Garonne », certains de ses 367 habitants l’attendent avec envie.
Celui que l’on présente souvent comme un fleuve sauvage, car peu canalisé, souffre d’un niveau d’eau historiquement bas. Ce corridor de nature malmené émeut les humains qui le côtoient.
L'Etat, via la Dreal Occitanie et la Dreal du bassin Adour-Garonne, lance un appel à projets pour soutenir des actions permettant de faciliter l'appropriation de l'entité Garonne (identité culturelle, paysagère, biodiversité) et sa prise en comp...