Le ministère de la santé a annoncé mardi que les doses de ce vaccin, dont les effets secondaires ont entraîné une relative désaffection en France, sont redirigées vers le dispositif de solidarité internationale Covax.
Un groupe d’experts réuni par l’Agence du médicament (ANSM) a émis, mercredi, des « réserves » quant à l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca chez les tranches d’âge plus jeunes.
Le pays scandinave est le premier pays européen à renoncer définitivement au vaccin du laboratoire suédo-britannique, en raison de ses effets secondaires « rares » mais « graves ».
L’agence britannique des médicaments a déclaré vendredi avoir constaté 242 cas de caillots sanguins chez des personnes ayant reçu le vaccin d’Oxford-AstraZeneca contre le Covid-19, sur plus de 28 millions de doses administrées.