Le 18 août, les autorités algériennes ont annoncé que les feux de forêt qui ont dévasté des milliers d’hectares à partir du 9 août, étaient éteints. Imputé à des actes criminels, ce drame est aussi le résultat des défaillances de l’État et du manque de moyens, tout comme du dérèglement climatique, estime le quotidien indépendant El Watan.